I’m Not There, Todd Haynes (2007)
Je n’ai pas compté le nombre de fois où j’ai visionné ce film (quatre ou cinq minimum). Je l’apprécie toujours, à chaque fois de manière différente, exactement comme un album de Dylan qu’on croit connaitre et qu’on redécouvre. Il y a toujours de nouveaux signes à repérer, de nouvelles références à interpréter. C’est un peu le film idéal du dylanophile, fait par un fan pour les fans. Il parait qu’un biopic du chanteur est en préparation. Je ne veux rien en savoir car pour moi le film de Todd Haynes constitue le film définitif et inépuisable sur le sujet.
Twin Peaks: Fire Walk with Me, David Lynch (1992)
La première fois que je l’ai vu, j’avais trouvé le film ennuyeux, gratuitement glauque, désagréablement puritain. Laura Palmer aurait été sacrifiée parce qu’elle avait sombré dans le péché et avait perdu sa pureté (symbolisée par un ange) ? Entre temps est sortie la saison 3. A vrai dire, j’ai revu le film parce que les spécialistes de TP voyaient des liens. Comparé au surréalisme visionnaire de The Return, le film reste très linéaire et d’une platitude bien peu lynchienne. Seul l’univers parallèle de la salle rouge, à peine entrevu, sera développé d’une manière magistrale dans la dernière saison de la série.
Il peut être intéressant de noter qu’il n’y a nul besoin de vociférations pour s’opposer à une réforme, les institutions démocratiques (cf. Conseil d’Etat) s’en chargeant très bien.
Comme quoi le pouvoir de la tête vaut mieux que le pouvoir du poing
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C’est une lecture des évènements en cours.
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« Réforme des retraites : les calculs erronés du gouvernement scandalisent »
…. vociférons, vociférons, tous en rond…. ah, les salauds !
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Vociférations économiques
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