-
Articles récents
G.F.I.V. éditions
Quelques endroits où je passe souvent
- L'Ex, homme-âne-yack
- SYNCOPES
- LE LIVRE SANS VISAGE
- nos consolations
- Branloire pérenne
- Dans l'herbe tendre
- TOUT PLACID
- Blog de Paul Edel
- Minuit dans le jardin
- Journal documentaire
- Le Promeneur
- Le photographe minimaliste
- Ruines circulaires
- Zoë Lucider
- le vieux monde qui n'en finit pas
- ETC-ISTE
- From your friendly neighborhood
- Grégoire Courtois
- Follow Le Journal de Jane on WordPress.com
Archives mensuelles : avril 2015
L’art de la pochette de disque
Une pochette assez originale pour cette étrange réédition de The Who Sell Out et A Quick One, double album acheté au début des années 70 pour des raisons économiques (deux pour le prix d’un).
Citation
« When considering The Rolling Stones’ imperial phase of 1968 to 1972, one is tempted to recall the time-worn maxim coined by the great Hunter S Thompson: “I’d hate to advocate drugs, alcohol or insanity to anyone, but they’ve always worked … Lire la suite
Publié dans citations, Posts, Rolling Stones
Laisser un commentaire
Le week-end commence ici !
Les Stones à Ready, Steady, Go! On en connaissait des extraits. Voici l’intégralité des shows télévisés en 65/66. Via Dangerous Minds
Lecture
C’est le Dr Orlof qui m’a donné envie de prendre le livre d’Anne Wiazemsky à la médiathèque. Il avait raison : j’ai dévoré ce récit sans m’ennuyer un seul instant. Beaucoup d’anecdotes amusantes et pas vraiment surprenantes. Godard mêlait à … Lire la suite
Notre poète disparu
Des témoignages refont surface. La sœur décrit un ado dépressif et perturbé, enfermé dans sa chambre (parfois caché sous le bureau) ou bien restant silencieux avec des « dead eyes » durant les réunions de famille. Sa première épouse parle d’un époux … Lire la suite
Vu
Inherent Vice (2014) Paul Thomas Anderson a su rendre ce moment où les défoncés se demandent s’ils sont en train de perdre complètement le contrôle ou si la drogue leur fait soudainement accéder à un niveau de conscience supérieur. Crise … Lire la suite
Souvenir
Grandes vacances, été 70 (approximativement). Une maison abandonnée. En fait, un pavillon inachevé qui se trouvait sur le chemin conduisant vers le bois. Juste des murs en parpaing et un toit. Ma petite bande (mon clan des 7) était venue … Lire la suite