Le problème avec les maximes de sagesse, c’est qu’on finit par les détester lorsqu’on constate qu’on n’arrive pas à les suivre sur la durée parce qu’il est devenu impossible de se couper du flux médiatique global. Un reportage sur les conditions de vie dans les zones contaminées et non évacuées autour de la centrale de Fukushima suffit à anéantir tous les efforts. La « parfaite indifférence » semble hors d’atteinte.
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