Il faut quand même dire que Fonds perdus (que je viens de finir) est aussi un roman d’une très grande drôlerie. La traduction réussit à nous faire entendre un équivalent convainquant de l’humour pynchonien.
Extrait (cliquer pour agrandir):
On peut lire un entretien avec Nicolas Richard, traducteur de Fonds perdus, ici.
Inherent Vice, le film. Belle critique dans Chro.
http://www.chronicart.com/cinema/inherent-vice/
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