Esplanade du Trocadéro, mai 2012. Une brise printanière dissipe les derniers miasmes laissés par un récent attroupement de losers. (photographie : Bill Térébenthine)
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Au fond, c’est Raoul Bitenlair ?
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Ils sont tous partis au Fouquets…
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Y’a pas non plus le mec à la cravate parfumée, ni la gonzesse nue sous son imper qui arrive à garer sa voiture direct sur l’esplanade, mais je suppose qu’il était un peu trop tard dans la journée (ou trop tôt, selon)…
😀
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