L’effet Ubik

ubik2« Si averti soit-il et quelque niveau de lecture qu’il choisisse — et Dieu sait qu’il y en a — quiconque entre en ce livre est condamné à quitter la dernière page l’œil clignotant et la peur au ventre », avertissait Jacques Chambon dans Fiction (1971). Je confirme. J’ai passé la semaine dans un monde encore plus bizarre et décalé que d’habitude (un noël dickien). Et maintenant, j’ai les jetons. Je repousse le moment de finir le livre, tellement le récit est devenu terrifiant dans les dernières pages.

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3 commentaires pour L’effet Ubik

  1. vinosse dit :

    C’est marrant, ma fille de 21 ans vient d’en faire la découverte elle aussi cette semaine !
    Elle en avait entendu parler par une copine!

    J’lui ai dit: si tu m’avais dit j’aurais cherché mon exemplaire de l’époque, un « Présence du Futur »…

    Tout compte fait on l’a pas retrouvé… pfffuittt… envolé…

    Mince alors… et il est pas le seul!

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  2. vinosse dit :

    Me souviens d’un très court séjour rue de la Huchette vers 1971, d’avoir trainé tout autour et d’être ressorti de la librairie Maspéro avec au moins 7 ou 8 exemplaires…
    Que sont-ils tous devenus… ????

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