J’ai Vice caché depuis le jour de sa parution et je n’ai pas commencé à le lire. Il y a d’autres trucs à finir, mais ce n’est pas la vraie raison. C’est pas facile à expliquer, mais un roman de Pynchon, on s’en approche lentement. La couverture surprend au début. On s’y fait. Maintenant, je l’aime pour son côté « polar d’été » un peu cheap. Il m’arrive aussi de prendre Vice caché et de le feuilleter. Je lis une phrase par-ci, par-là . Pas d’arnaque sur la marchandise : c’est bien du Pynchon.
-
Articles récents
G.F.I.V. éditions
Quelques endroits où je passe souvent
- TOUT PLACID
- Journal documentaire
- ETC-ISTE
- Dans l'herbe tendre
- Le photographe minimaliste
- Zoë Lucider
- le vieux monde qui n'en finit pas
- nos consolations
- From your friendly neighborhood
- Minuit dans le jardin
- SYNCOPES
- Branloire pérenne
- Grégoire Courtois
- Blog de Paul Edel
- LE LIVRE SANS VISAGE
- L'Ex, homme-âne-yack
- Le Promeneur
- Ruines circulaires
- Follow Le Journal de Jane on WordPress.com