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G.F.I.V. éditions
Quelques endroits où je passe souvent
Archives par mot-clef : Gracq
Chez Breton
Julien Gracq se souvient des visites chez l’écrivain, du bureau dont le fouillis « impossible à dépoussiérer complètement » faisait songer « à la fois à un cabinet de naturaliste et à la réserve, en désordre, d’un musée ethnographique ». Après l’évocation des lieux, … Lire la suite
Éloge du bovarysme, le vrai
« En relisant le roman, ce qui m’a frappé, ce n’est pas le ratage misérable des amours et des fantasmes d’Emma, sur lequel Flaubert s’appesantit, c’est l’intensité de la flamme vive qui plante son héroïne, au milieu du sommeil épais d’un … Lire la suite
L’art de la promenade
Il est toujours utile de rappeler les vertus des activités inutiles que la société spectaculaire-marchande a sacrifiées sur l’autel du travail (la paresse, la sieste, la rêverie, etc.). La promenade, selon Gracq, ne se limite pas au simple besoin de … Lire la suite
L’art du portrait
« Je jette maintenant les yeux sur tel « portrait » de Lautréamont, bien entendu imaginaire, qu’on s’est parfois ingénié assez audacieusement à nous restituer par les moyens plastiques ou littéraires. » Julien Gracq, « Lautréamont toujours », Préférences
Sur le sens des œuvres d’art
Julien Gracq, dans un texte consacré au roman Sur les falaises de marbre (dans Préférences), tente un moment de nommer le « sens » du livre, ce à quoi pourrait renvoyer les éléments qui sont dévoilés dans le roman, notamment cette sorte … Lire la suite
Lecture
« Mais il y a façon et façon de jouer. Un droit spécial de naissance assigne à un homme comme Allan l’emploi de roi de théâtre : c’est un seigneur, un prince de la vie. Je ne me sens fait – … Lire la suite
Lecture
« J’ai toujours vu dans le pin un arbre tragique. La torsion dure et violente des branches, la toison dure, ces aigrettes de sabre minuscules en guise de feuilles qu’on voit si miraculeusement reproduites sur les estampes chinoises, aucune concession à … Lire la suite
Lecture
Julien Gracq, Au château d’Argol De la première phrase, André Pieyre de Mondiargues a écrit : « Que sais-je de plus beau, au fil de tant de romans que j’ai lus, que cette phrase. »
Lettre de Breton à Gracq
Au château d’Argol est publié chez Corti en janvier 1939. Andé Breton, à qui Gracq avait envoyé le livre, lui écrit : (cliquer pour agrandir)
I had a dream
Discussion que j’aimerais avoir avec mon voisin : – Bonjours Mme Sweet, il fait beau hein ? – C’est agréable. – Vous lisez quoi en ce moment ? – Je viens de recevoir Julien Gracq dans la Pléiade. – C’est pas … Lire la suite