
La Science des rêves, Michel Gondry (2006)
Après Eternal Sunshine of the Spotless Mind, l’idée de voir ce que donnait le film suivant de Gondry n’était pas complètement aberrante. Déception. J’ai rapidement compris que ce n’était pas pour moi. Entre les mimiques de Charlotte Gainsbourg, l’air ahuri du personnage principal et les bricolages oniriques régressifs niveau cours d’arts plastiques de collège, j’ai vainement tenté de tenir une longue demi-heure avant de déclarer forfait.
Gondryole !
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