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Ici repose la liberté
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Ci gît et dort en ce solier,
Qu’amour occit de son raillon,
Un pauvre petit écolier
Qui fut nommé François Villon.
Oncques de terre n’eut sillon.
Il donna tout, chacun le sait :
Table, tréteaux, pain, corbillon.
Pour Dieu, dites-en ce verset :
Repos éternel donne à cil,
Sire, et clarté perpétuelle,
Qui vaillant plat ni écuelle
N’eut oncques, n’un brin de persil.
Il fut rés, chef, barbe et sourcils,
Comme un navet qu’on ret ou pèle.
Repos éternel donne à cil.
Rigueur le transmit en exil
Et lui frappa au cul la pelle,
Nonobstant qu’il dît : » J’en appelle ! »
Qui n’est pas terme trop subtil.
Repos éternel donne à cil.
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Source : Le Monde
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On trouve fort heureusement la poésie de Villon un peu partout, pas seulement dans le journal de révérence. 🙂
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Suis donc votre obligé pluri-sectionné de petite maternelle
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