Je me souviens avoir vu ce film par hasard lors de la visite d’une exposition au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris. Déflagration d’images érotiques et subversives (la religion y est malmenée) venues rappeler la puissance du cinéma en liberté que pratiquaient les surréalistes. Pour découvrir cet artiste au parcours bien rempli (participations au Surréalisme, à l’Internationale Situationniste), rien de mieux qu’une dérive à travers le site qui lui est consacré. C’est ici.
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