Notre génération n’a pas de grands témoignages historiques à raconter. Juste des souvenirs qui deviennent de plus en plus étranges à mesure que le temps passe à la vitesse d’un avion. J’écoutais ce morceau sur une K7 enregistrée à partir d’un vinyle emprunté dans une médiathèque de province. Au piano, rien moins que le grand Bill Evans qui tricote discrètement des notes sublimes. Mais ce n’est pas tout. En plus de la trompette de Chet Baker, il y a le sax bluesy de Pepper Adams qui me colle des frissons à chaque fois que je l’entends arriver. Les autres sont : Herbie Mann à la flute, Paul Cambers à la basse et Connie Kay on drums. J’écoutais ça sur la terrasse de la maison où nous passions les vacances en Bretagne et c’était vraiment cool.
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