« J’ai toujours vu dans le pin un arbre tragique. La torsion dure et violente des branches, la toison dure, ces aigrettes de sabre minuscules en guise de feuilles qu’on voit si miraculeusement reproduites sur les estampes chinoises, aucune concession à la mollesse végétale, mais le goût du terrain sec, caillouteux, de la pierre à fusil, de la vie brûlante, quelque chose de calciné, comme l’incarnation d’une idée sauvage de l’amour : aride , harassant, sans repos. » Julien Gracq, Un beau ténébreux
-
Articles récents
G.F.I.V. éditions
Quelques endroits où je passe souvent
- LE LIVRE SANS VISAGE
- ETC-ISTE
- Minuit dans le jardin
- Dans l'herbe tendre
- Branloire pérenne
- Le Promeneur
- Zoë Lucider
- Ruines circulaires
- Le photographe minimaliste
- le vieux monde qui n'en finit pas
- SYNCOPES
- Blog de Paul Edel
- TOUT PLACID
- L'Ex, homme-âne-yack
- nos consolations
- Journal documentaire
- Grégoire Courtois
- From your friendly neighborhood
- Follow Le Journal de Jane on WordPress.com