Dans le défilé des photographies de l’année, les images de guerres, attentats, réfugiés, ouragans, incendies, tueries de masse nous ramènent à l’obscénité théorisée par Baudrillard. Celle-ci n’est pas violente, juste conçue pour être menaçante. Elle suinte pourtant la terreur du photographe anonyme qui l’a prise et qui avait un cahier des charges précis. Il ne pouvait décevoir le commanditaire. Pas plus que les ingénieurs qui ont conçu le missile, le coiffeur et le tailleur personnels du dictateur, celui qui a disposé les jumelles et la carte sur la petite table et même les responsables de l’entretien de la piste impeccable. La terreur suinte de partout sur cette image.
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l encadrement, les normes du travail, la censure sociale…
beaucoup de règles et la machine ki devient nous…
la liberté où est-elle? la terreur partout?
meditons et agissons pour la liberté
ok?
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Allons ! Nous ne sommes pas en Corée du Nord 🙂
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Y’a que dans Tintin au Tibet qu’il existe des appareils photos avec un pistolet dedans.
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Bien dégagé sur les oreilles, la piste aussi, le missile dégagera une bonne chaleur… il est raccord le Kim !
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