La raison pour laquelle nous apprécions le climat de désillusion qui règne : personne ne nous reproche de nous détourner du spectacle désolant de notre époque. Nous n’idéalisons pas pour autant les sixties, ce moment où la culture de masse a commencé à tourner à plein rendement tandis que se mettait en place l’organisation sociale qui implose lentement sous nos yeux un demi-siècle plus tard.
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