Fin de l’année 1971, Syd a 25 ans. « I’m disappearing, » déclare d’emblée l’ancien leader du Floyd au journaliste venu le voir à Cambridge. Son aspect maladif est celui qu’on associe aux poètes de l’ancien temps. Il dit faire beaucoup de marche. « Mostly, I just waste my time. » Il s’excuse de ne pas parler de manière très cohérente, s’étonne que des gens s’intéressent à lui. Il déclare être « full of dust and guitars » et s’avoue très satisfait de l’album The Madcap Laughs. Il passe beaucoup de temps dans une cave entouré par des peintures, des dossiers, des amplis et des guitares. Nous savons qu’il n’en sortira rien. Hendrix représente tout ce qu’il voulait atteindre quand il était un môme : « Play a guitar properly and jump around ». Il évoque sa difficulté à travailler, à monter un groupe. A lire ici.
-
Articles récents
G.F.I.V. éditions
Quelques endroits où je passe souvent
- le vieux monde qui n'en finit pas
- Dans l'herbe tendre
- LE LIVRE SANS VISAGE
- Grégoire Courtois
- TOUT PLACID
- L'Ex, homme-âne-yack
- Le Promeneur
- Minuit dans le jardin
- nos consolations
- ETC-ISTE
- Ruines circulaires
- Journal documentaire
- From your friendly neighborhood
- Branloire pérenne
- SYNCOPES
- Le photographe minimaliste
- Blog de Paul Edel
- Zoë Lucider
- Follow Le Journal de Jane on WordPress.com