Premier album acheté avec l’argent de poche. Yeah. Déflagration esthétique majeure dont on ne se remet jamais. « Aujourd’hui, tout le monde semble ne jurer que par Exile, mais c’est un peu du révisionnisme. À l’époque, le disque qui a traumatisé une génération entière, c’est bien Sticky Fingers« , écrit fort justement Stan Cuesta dans le dernier Rolling Stone. « Tout y était fabuleux, inouï, dérangeant, excitant… La pochette. L’ambiance sexuelle. La musique, magnifique. Il n’y avait rien à jeter, pas une mauvaise chanson, tout s’écoutait du début à la fin sans qu’on n’ait jamais envie d’en passer une. Et puis la drogue… » Réédition prévue pour début juin.
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Exile c’est le chant du cygne…
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L’histoire du rock s’écrit souvent en ce moment à la manière soviétique. Quant à Sticky fingers, merveille absolue isn’t it ?
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It is. https://youtu.be/wrsToLa3XEo
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http://www.dragonjazz.com/grablue/blues_taylor.htm
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En ce moment dans la voiture, je réécoute ses disques avec Mayall. Un très grand guitariste.
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Peter Green ?
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Ah ! Peut-être.
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Décollant
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( Green y est, bien sûr… Mais on s’éloigne du sujet, quoiqu’en matière de musique de branleurs et de rééditions, ce machin vient de me tomber dessus : https://www.youtube.com/watch?v=bv0nEvy3Pok )
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