« This is what rock & roll is. This is everything rock & roll wanted to be. This is a performance that isn’t jazz, that isn’t blues, that isn’t country, that isn’t pop, that isn’t anything but rock & roll. Nothing like what you hear on ‘Shake Some Action’ was in the world before there was rock & roll. » Greil Marcus
-
Articles récents
G.F.I.V. éditions
Quelques endroits où je passe souvent
- Le photographe minimaliste
- Blog de Paul Edel
- Le Promeneur
- Grégoire Courtois
- Journal documentaire
- SYNCOPES
- L'Ex, homme-âne-yack
- Ruines circulaires
- TOUT PLACID
- Dans l'herbe tendre
- le vieux monde qui n'en finit pas
- Minuit dans le jardin
- LE LIVRE SANS VISAGE
- Branloire pérenne
- Zoë Lucider
- From your friendly neighborhood
- nos consolations
- ETC-ISTE
- Follow Le Journal de Jane on WordPress.com
ouaip
J’aimeJ’aime
J’aimeJ’aime
Les sonic boys de San Francisco… C’était un truc de « grands », quelque chose d’un peu dangereux. Et puis comment se procurer les albums à Genève en ’75-’75 ? Ils devaient être deux et demi à écouter leurs plaques à Calvingrad (après un voyage à Londres ou aux States) avant que le punk rockers les citent comme une référence.
J’aimeJ’aime
Idem dans la campagne française 😉 Longtemps rêvé sur eux avant de pouvoir écouter leurs disques. Cet éloignement (qui n’existe plus) ajoutait, me semble-t-il, à la magie du rock & roll vu d’ici.
J’aimeJ’aime
Magie, mystère… J’aimais bien. On découvrait ces groupes ésotériques par petites touches successives. Un bref passage télé (c’est comme ça que j’ai découvert Roxy Music), un écho ou une critique de disque dans Best ou Rock&Folk, plus rarement un album emprunté à son grand frère ou grande sœur par un copain de classe… Le Pop-Club de José Artur… J’écris peut-être une bêtise, mais on avait l’impression que ces groupes se méritaient.
J’aimeJ’aime
Un monde disparu… Nous serons les derniers à avoir connu cette façon d’aborder la musique.
J’aimeJ’aime
Jane et Claude, si ce n’est pas trop indiscret, quelles musiques vos père et mère écoutaient-ils durant votre tendre enfance ?
J’aimeJ’aime
Mes parents n’écoutaient pas vraiment de musique, ils n’avaient pas de goûts musicaux particuliers. On était juste baignés par la variété ambiante qui sortait de la radio posée sur le frigo. Mais, pourquoi cette question ?
J’aimeJ’aime
Il paraît que certains accordent de l’importance à d’où l’on vient. Avant que de voir le jour, j’ai baigné dans un liquide amniotique, bercé par Blonde on Blonde, le brown album de The Band et 12 Songs de Randy Newman. Je n’y suis pour rien. Je n’ai rien renié de cet héritage imposé même si je suis passé par d’autres choses depuis … Mais peut-être le tourne disque a-t-laissé des traces. On n’écoute pas toujours de la musique par choix
J’aimeJ’aime
Question de génération… Mon fils aussi a dû subir ce genre de traitement pré et post natal. Il ne s’en est jamais plaint 😉
J’aimeJ’aime
De la musique classique (Schubert, Brahms), un peu d’opéra, des chanteurs-euses (Brel, Piaf, Lama, Joan Baez), les Beatles, des musiques de film, du easy listening et quelques trucs pop. J’allais oublier: les choeurs de l’armée rouge.;)
J’aimeJ’aime
Tir groupé. Et après ça, vous avez refusé d’intégrer l’école polytechnique de Zurich ?
J’aimeJ’aime
l’article manquant
J’aimeJ’aime
😉
J’aimeJ’aime
« Et après ça, vous avez refusé d’intégrer l’école polytechnique de Zurich ? »
Il n’y avait plus de section dAdA. J’ai renoncé.
J’aimeJ’aime