« Flamme éternelle », c’est aussi un journal. Un numéro par jour. Traces de ce qui s’est passé la veille au milieu des pneus. C’est souvent une lecture stimulante et j’aime bien l’esthétique de photocopieuse noir et blanc. Tous les numéros sont là. Ce qui n’empêche pas, répétons-le, de se rendre sur place, d’être présent et de produire. Hirschhorn : « Il ne s’agit jamais de venir consommer de la pensée, mais d’entretenir un foyer. Nous devons garder la passion, la croyance en l’art. C’est une vraie guerre. » (Le Monde)