J’avais un fond qui tournait bien. Nabokov, Dick, des poèmes de Sylvia Plath, le livre de Bruce Bégout consacré à ces zones périurbaines dont on redécouvre l’existence au lendemain de chaque élection. J’alternais selon un programme bien réglé entre des univers qui me convenaient. Mais depuis qu’Une vie à bruler de James Salter est arrivé au basement, je n’ai plus envie de lire autre chose.
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Chef d’œuvre…
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Pour changer des fonds trop huilés, sortir des USA, découvrir de nouvelles pistes de lecture, ma recommandation blogpathique : antifixion – http://antifixion.blogspot.fr.
daniel mallerin
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