Tout semblait parfaitement maîtrisé à l’intérieur du cadre comme dans la voix off. De la communication convenue, sans bavure. Et soudain, un grain de sable a surgi sous la forme d’une petite image fixe à l’ancienne. Ce « dérapage dans le symbolique » totalement incontrôlé vient rappeler que les images sont difficiles à contrôler.
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Déchiffrement est art difficile, en outre souvent douteux. Premier exemple, la presse n’arrête pas de parler des » forces spéciales » françaises au Mali, ou de l’armée algérienne. En réalité, il s’agit presque toujours de troupes de ligne. En boche, spécial se dit » sonder « , d’où le succès des Sonderkommandos dans la littérature holocaustique. Les médiocrates manquent d’imagination, ils utilisent toujours les mêmes trucs. Sauf qu’après les commandos spécials, spéciaux ou spécieux, qui auraient participé à des atrocités, les forces spéciales sont valorisées. Elles seraient composées de professionnels hautement qualifiés qui tueraient par humanisme.
Comme le soutiennent les veuvards (francs-maçons, NDLR) qui commandent l’armée. Ils se disent choqués par la photo du soldat français portant la mort au Mali. Pourtant il fait son boulot, sa mission étant de faucher des coupés (excision, circoncision, NDLR).
Alain Guionnet – Journal Revision, 22 janvier 2013, Déchiffrements. (guionnet.wordpress.com/)
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Ce qui est choquant c’est les mines outragées de certains qui font semblant de ne pas savoir ce qu’il y a dans la tête d’un engagé volontaire…
Depuis des siècles la même chose…
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Qu’aviez-vous en tête à vingt ans ?
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A 20 ans j’étais enrôlé de force dans l’armée française (appelé)…
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Les conscrits et l’appel du foyer….
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