Michèle Bernstein, figure historique de l’IS, dont la beauté éclaire de nombreuses photos de jeunesse de Guy Debord, est interviewée à l’occasion de la publication de son premier roman par un Dumayet fébrile et visiblement troublé. (Via Shige)
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interview financée par le contribuable Français (ortf?)
et archivé par une armada de fanatiques « pacifistes »,
soucieux du patri-moine …
[ceci n’empêche pas cela]
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pardon d’être à côté d’la plaque Bernstein (mais pas tant que ça) : je voudrais vous faire parvenir la version numérique d’un livre magnifique que j’ai édité chez un éditeur lilliputien… Comment faire ?
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Super, merci. Je crois que ça dépend de la version numérique, si c’est un pdf, des images, etc. Si c’est possible par mail : jane.sweet@wanadoo.fr
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Je ne trouve pas Dumayet fébrile, au contraire, plutôt énervé par l’aplomb de la gonzesse qui évite de reconnaitre d’évidence le côté « commercial » de son œuvre, bien dans l’air du moment… Elle aura beau s’en défendre l’histoire oubliera son nom mais pas celui de Sagan…
Marrant que le débat actuel qui dénonce les accointances du milieu pour se faire éditer, dure depuis tant de temps…
A vrai dire je crois qu’il est de toutes périodes de ne pas prendre au sérieux la majorité des bouquins édités…
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Faut-il prendre Laurence Parisot au sérieux ?
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