Moins envoutant que Le Tour d’écrou, mais bien prenant quand même. La fin, qui n’en est pas une, laisse le lecteur tirer ses propres conclusions. Je me rallierais assez volontiers à celle qui est proposée dans la préface de cette édition : « Il n’est pas si important de trouver que de savoir que quelque chose nous reste caché. » Mes affinités avec l’univers et l’écriture de Henry James semblant se confirmer, je vais bientôt pouvoir passer à la lecture d’un de ses grands romans.
PS : Le film Les Innocents, que nous a aimablement signalé Sophie, est une adaptation très réussie du Tour d’écrou.
On peut le voir en morceaux ici.
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