-
Articles récents
G.F.I.V. éditions
Quelques endroits où je passe souvent
- Branloire pérenne
- nos consolations
- Le Promeneur
- Le photographe minimaliste
- Minuit dans le jardin
- Grégoire Courtois
- Zoë Lucider
- TOUT PLACID
- ETC-ISTE
- Ruines circulaires
- Blog de Paul Edel
- From your friendly neighborhood
- Journal documentaire
- L'Ex, homme-âne-yack
- Dans l'herbe tendre
- SYNCOPES
- le vieux monde qui n'en finit pas
- LE LIVRE SANS VISAGE
- Follow Le Journal de Jane on WordPress.com
Articles les plus consultés
Commentaires récents
Anonyme dans Message aux lecteurs du Journa… journaldejane dans Message aux lecteurs du Journa… Bill Térébenthine dans L’art de la reprise journaldejane dans Vu Jacques d. dans Vu journaldejane dans Vu journaldejane dans Vu journaldejane dans Vu journaldejane dans Le retour du Prince Mychk… Jacques d. dans Le retour du Prince Mychk… Archives
- avril 2022 (2)
- mars 2022 (20)
- février 2022 (29)
- janvier 2022 (21)
- décembre 2021 (26)
- novembre 2021 (30)
- octobre 2021 (31)
- septembre 2021 (30)
- août 2021 (9)
- juillet 2021 (1)
- juin 2021 (28)
- mai 2021 (31)
- avril 2021 (11)
- mars 2021 (31)
- février 2021 (14)
- janvier 2021 (31)
- décembre 2020 (18)
- novembre 2020 (29)
- octobre 2020 (20)
- septembre 2020 (30)
- août 2020 (20)
- juillet 2020 (1)
- juin 2020 (30)
- mai 2020 (35)
- avril 2020 (40)
- mars 2020 (26)
- février 2020 (23)
- janvier 2020 (33)
- décembre 2019 (19)
- novembre 2019 (35)
- octobre 2019 (26)
- septembre 2019 (32)
- août 2019 (33)
- juillet 2019 (3)
- juin 2019 (35)
- mai 2019 (37)
- avril 2019 (30)
- mars 2019 (26)
- février 2019 (29)
- janvier 2019 (27)
- décembre 2018 (28)
- novembre 2018 (31)
- octobre 2018 (32)
- septembre 2018 (30)
- août 2018 (2)
- juillet 2018 (16)
- juin 2018 (30)
- mai 2018 (31)
- avril 2018 (20)
- mars 2018 (30)
- février 2018 (21)
- janvier 2018 (30)
- décembre 2017 (26)
- novembre 2017 (30)
- octobre 2017 (16)
- septembre 2017 (31)
- août 2017 (1)
- juillet 2017 (6)
- juin 2017 (20)
- mai 2017 (8)
- avril 2017 (26)
- mars 2017 (10)
- février 2017 (24)
- janvier 2017 (29)
- décembre 2016 (15)
- novembre 2016 (1)
- octobre 2016 (18)
- septembre 2016 (33)
- août 2016 (21)
- juillet 2016 (8)
- juin 2016 (7)
- mai 2016 (31)
- avril 2016 (20)
- mars 2016 (30)
- février 2016 (17)
- janvier 2016 (31)
- décembre 2015 (15)
- novembre 2015 (28)
- octobre 2015 (22)
- septembre 2015 (30)
- août 2015 (20)
- juillet 2015 (7)
- juin 2015 (30)
- mai 2015 (31)
- avril 2015 (21)
- mars 2015 (31)
- février 2015 (17)
- janvier 2015 (28)
- décembre 2014 (21)
- novembre 2014 (25)
- octobre 2014 (32)
- septembre 2014 (24)
- juillet 2014 (12)
- juin 2014 (25)
- mai 2014 (30)
- avril 2014 (30)
- mars 2014 (26)
- février 2014 (28)
- janvier 2014 (27)
- décembre 2013 (20)
- novembre 2013 (27)
- octobre 2013 (27)
- septembre 2013 (30)
- août 2013 (33)
- juillet 2013 (16)
- juin 2013 (30)
- mai 2013 (31)
- avril 2013 (23)
- mars 2013 (31)
- février 2013 (28)
- janvier 2013 (26)
- décembre 2012 (31)
- novembre 2012 (30)
- octobre 2012 (31)
- septembre 2012 (30)
- août 2012 (33)
- juillet 2012 (21)
- juin 2012 (30)
- mai 2012 (31)
- avril 2012 (30)
- mars 2012 (33)
- février 2012 (30)
- janvier 2012 (31)
- décembre 2011 (33)
- novembre 2011 (32)
- octobre 2011 (33)
- septembre 2011 (33)
- août 2011 (32)
- juillet 2011 (31)
- juin 2011 (30)
- mai 2011 (34)
- avril 2011 (32)
- mars 2011 (36)
- février 2011 (33)
- janvier 2011 (35)
- décembre 2010 (32)
- novembre 2010 (30)
- octobre 2010 (25)
- septembre 2010 (23)
- août 2010 (31)
- juillet 2010 (4)
Quelle vie ! Notre Etta a tout connu, tout traversé: la passion, l’héroïne dans les 60’s, Dieu, l’Amérique au temps de l’apartheid, la perte de Leonard Chess*, son compagnon et complice, l’oubli, le comeback et une maladie terrible. Mais quelle leçon de vie… Je l’écoute en boucle depuis des semaines car ses interprétations ont un pouvoir d’apaisement rare.
* Leonard Chess (Lejzor Czyz) vient au monde en 1917 dans ce qui est aujourd’hui la Biélorussie. En 1928, il traverse l’Atlantique pour aller retrouver sa famille installée dans l’Illinois. Devenu adulte, il découvre la richesse musicale de Chicago en écumant ses nuits les plus hot avec son frangin. Fans de jazz et de blues, ils deviennent actionnaires d’un modeste label dont ils prennent le contrôle quelques années plus tard. Ils parviennent à signer de futures pointures comme Muddy Waters ou Willie Dixon. Rebaptisé Chess Records, ils alignent les hits: Gene Ammons, Muddy Waters, Jimmy Rogers, etc. Chess prend alors langue avec Sam Philips, le patron-passeur génial de Sun Records pour dénicher des nouveaux talents: Howlin’ Wolf, Rufus Thomas, Bo Diddley feront la renommée du label à la fin des 40’s et au début des 50’s bientôt rejoints par Chuck Berry et bien sûr Etta James qui partagera la vie de Leonard décédé le 16 octobre 1969.
Note: Le film Cadillac Records est un bel hommage même romancé à l’aventure Chess. Sa b.o. est aux petits oignons. Dans l’Amérique de la race music (40’s-50’s), ce sont des managers et des producteurs juifs qui les premiers signèrent des artistes noirs.
J’aimeJ’aime
J’aime bien Pushover…
J’aimeJ’aime
C’est mieux comme ça ?
J’aimeJ’aime
Parfait.
Moi je craque pour I’d Rather Go Blind
J’aimeJ’aime
Magnifique Etta!
J’aimeJ’aime
Elle « envoie du bois », comme on dit…
J’aimeJ’aime
Une mine d’or…http://bedazzled.tv/
J’aimeJ’aime
Oui, mais depuis le début les animateurs de ce site pop collent leur logo sur des vidéos dont ils ne sont ni les créateurs ni les producteurs ni les ayant droit. C’est énervant, surtout quand les chansons sont dans le domaine public. Ils ne sont pas les seuls sur la toile s’approprier des images vintage. Je me suis pris de bec avec certains webmasters qui proposent des tirages vendus chers sur lesquels figure leur logo. Sans complexe ! Quand on connait les noms de photographes qui ont shooté l’original, cette appropriation est abusive. Pour revenir à bedazzled.tv, si je reconnais leur flair, je n’aime pas leur attitude de propriétaires.
J’aimeJ’aime
PS: C’est comme si demain Jane collait un logo « Journal de Jane » sur les images et les vidéos qu’elle met en ligne.
J’aimeJ’aime
Le mythe miteux de la startup…
J’aimeJ’aime
@Claude, sur la récup’ douteuse, je suis OK avec toi, mais néanmoins les vidéos sont dispos sans contrepartie…
J’aimeJ’aime
Et c’est vrai que leurs choix sont bien vus.
J’aimeJ’aime