Et je reste sur la même impression, un peu mitigée. Au début, on a envie de relever quelques phrases étincelantes d’ironie et d’élégance désespérée. Mais il y en a trop. Pour moi, une accumulation de petits paragraphes ultra brillants, cela ne fait pas exactement ce que j’appellerais un « roman ». Daimler s’en va ressemble plutôt à un recueil de notes pour un projet – ce qu’était le Jounal de Trêve, dont je conserve un merveilleux souvenir.
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Après relecture, je partage cet avis. Les passages fulgurants renforcent l’impression de quelque chose d’inachevé qui frustre. Pour dire lourdement: je suis resté sur ma faim.
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