Je viens de finir la lecture de Point Oméga de Don De Lillo. Le premier mot qui me vient à l’esprit : respect. Rien à dire, c’est du travail d’orfèvre, intelligent, original dans sa construction, abouti. L’ennui que distille doucement ce court roman provient précisément de cette maîtrise. Entre l’idée qu’on se fait du livre à partir des éléments révélés en quatrième de couverture (Douglas Gordon, 24 Hour Psycho, ralentissement du temps…) et la lecture, très peu de surprises. Don De Lillo, c’est sa force, avance en ligne droite. Mais il est trop straight pour mon goût, trop sérieux, trop rigoureux. Je préfère les romans bordéliques et drôles de Pynchon, son principal concurrent sur le podium.
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http://www.evene.fr/livres/actualite/don-delillo-great-jones-street-3300.php
et si controversé, toutefois sa prose est fascinante,
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